Cérémonie d'une Sangrave : Nessa

J'avais l'impression que le temps était long... Il me trainait de depuis la salle des duels, et j'aurais pu croire que c'était depuis des heures que l'on passait nombres de couloirs, escaliers et autres, qui se ressemblaient tous... Je ne compris pas vraiment ce qui se passa ensuite : Il m'amena finalement dans une piece immense, qui resemblait a une piece commune, comme un peu une cantine. Des personnes se retrournèrent lorsque il me balanca dans cette piece, agacé que je marche pas par mes propres moyens et que je traine, en plus, les pieds, pour bien eviter de lui faciliter la tache. Personne ne dit rien, simplement, tous regardaient la scène avec attention et incertitude. L'homme qui m'avait amené, parla enfin, haut et fort :

"- Voici la jeune fille qu'avait trouvé notre confrère dans la foret, non loin des quartiers Omoisien Imperiaux. Elle a, pour confirmer vos doute, en effet dormis pendant deux bonnes semaines. Elle s'est enfin reveillée, sauf, que c'était en pleine nuit. En pleine nuit, bien sur, il n'y avait personne pour la diriger, ou autre, elle s'est donc balader, là où elle pouvais. Elle a fait toutes les premières portes qu'elle trouvait et se fut les chambres. Elle tomba enfin dans une qui était vide, ce fut la mienne. J'avais entendut que quelque'un allait entrer dans ma chambre, je m'etait donc mis en transparent, mais lorsque je la reconnue, car j'était alée m'informer de la personne qui avait était repechée inconsiente, je l'enmena donc faire un duel pour effectuer un contrôle de ses connaissances magiques. J'ai put constater qu'en effet, bien qu'affaiblie, elle a reussis a faire un duel nul contre moi. Sa magie comporte quelque chose de plus encore que quiquonque que j'ai combattue auparavant... Bien evidement, elle manque d'un entrainemant Sangrave, mais si elle reussi s s'adapter, elle pourais devenir plus puissante encore que le meilleure d'entre nous... C'est pourquoi, je sugere que nous fassions la cérémonie demain, qu'elle devienne une Grande Sangrave... la plus grande qui n'ai encore existée jusqu'aujourd'hui... Je compte donc sur vous pour m'aider a la former le mieu possible.

Tous avaient ecouter en silence, me regardant tour a tour avec l'homme a mes cotés. Je m'apperçu qu'ils avaient tous un masque, ce même masque miroitant, chacun d'une humeur differente, d'un couleur differente, et personne ne devoilait ses vrai trait... Mais qui étaient-t-ils ? Ils me disaient en effet quelque chose vaguement, ces masque, ce mur, ces couloirs... mais quoi ? Je me lanca alors, ne sachant trop comment ils allaient réagire a ma question :

"- Si je peux me permettre, j'aurais tout de même quelque chose a vous demander, messieurs, mesdames. J'ai effectivement un doute encore sur le lieu dans lequel je suis actuelement et surtout de qui suis-je entourée...

Des hoquets de surpsise se firent-entendre, d'autre disaient quelque chose comme : " elle a tout oublier... " ou bien "- mais pour qui se prend-telle, nous l'avons elevée pratiquement ! " ou encore : "- elle a passé toute son enfance ici, et elle est victime d'un sort puissant de cette sote d'Impeatrice d'Omois, anulant les souvenirs de sa petite jeunesse... pauvre fille..."

Je les regardais tous, ou bien, ce serait plus logique de dire que je regardais un groupe de personne bourdonnant d'exitation, que je ne connaissait, il me semblais, pour le moins du monde. Qu'avaient-ils tous a parler de moi comme s'ils me connaissaient ?
L'homme a coté de moi, fit signe aux autre de se taire, et repris la parole :
"- Cette jeune fille est, après confirmation de mes doutes, la fille que nous avions " perdue " et laquelle nous croyions morte... Oui, c'est elle... ( il y eu anouveau des murmures, je n'y comprenais plus rien a rien.) Elle a par contre été victime d'un sort très puissant de notre pauvre et idiote Imperatrice qui l'aurait receuillie, sans trop savoir d'où sortait cette enfant, adorable, aux pommettes roses, et aux yeux clairs... Elle a essayé de lui apprendre a vivre, elle a essayer d'en faire sa fille adoptive, en quelque sorte, et voila le travail.
Il me designa...








La nuit se passa lentement, je me tournais, retournais, et dans l'autre sens encore, bref, je n'arrivais pas du tout a dormir, des questions de toutes sortes me tracassants... mon identité avait-elle était faussée ? oh, et bien d'autre encore dans un même genre, precis...
Le lendemain matin, je me fit reveiller par une personne, qui, sans que je ne puisse faire quoi que se soi, encore endormie, m'habilla d'une tunique grise, sans rien en dessous, ouvrable du nombril a en haut. Je ne pus manger quoi que ce soit, bien que, de puis, cela m'aurait était agréable...

"- Ch'pourais po manger un peu s'vouplais ? "

Pas de réponse, bon tampis, j'avais du l'enerver pour je ne savais même quelle raison. Comme une somnembule, on m'enmenais quelque part, encore une fois, je ne savais où... cela commencais serieusemen a m'agacer.

"- Vous pouvez m'dire ou vous m'em'nez ?"

Toujours pas de réponse...

"- rooo allé s'vou'plais... soyez pas comme ca..."

Rien...
Finalement on alla me poser, sur une espece de table en pierre, froide, dans une piece, sous les yeux de tous les gens, ou même plus, que j'avais vu dans la grande salle commune. Je dû m'y poser sur le dos, couchée...



[ SUITE A VENIR]

Les gens sortirent de leur tribunes, tous étaient comme dans un état de transse, et moi je pleurais tout ce que je pouvais, je commencais a suer, le venin des serpents faisant un drôle d'effet en moi.. Les personnes vinrent jusqu'a moi, et ceratin utilisèrent la magie pour me degager des chaines, et j'eu un soupir de soulagement, lorsque je ne sentais plus les chaines sur pa peau ouverte et saignante a leurs effets... Toutes les personnes se bousculaient et commencèrent a me toucher... toutes se bousculaient, toutes hululaient, murmuraient, chnatient, parlementaient, et sans que je m'en rende compte, ils me prirent et me portèrent, il me soulevèrent et je me retrouvais dans les airs, sous eux, portée par toutes ls mains du monde... Comme lorsque j'étais allé une fois a un concert d'une strar d'Autremonde, une star de musique métale... Ca avait été extraordinaire, et surtout inoubliable : Tous les spectateurs étions "dans" la musqieu, nous étions comme fou. J'avais fait des choses que je n'imaginais même pas être probables. J'avais en outre, sauté de la scenes sur la foule, pour que celle ci me ratrape. C'était ce même sentiment, que ces personnes me donnaient l'impression. Elles m'avaient remémoré un souvenir superbe...


Mais pendant que j'avais repensé a tout cela, bien des choses c'étaient passées. J'avais été transbahutée autre part. Un autre part flou, trouble, en zigzague;.. non... non, c'était ma vision qui n'était plus en son état normale ! J'avais le tournis, la tête qui tournait.. Comme lorsqu'on buvait trop sans manger en même temps. je sourie legerement, peut être cela eviterait de montrer aux autres mon malaise. Au contraire, cela laissa echaper un son afreux de délirance... Il y eu le silence, et je paraissais encore plus pour une folle, une dératée qui lachait des sons bizards, des mots incomprég=hensibles qui ne s'alignaient pas pour faire une phrase normale... Mais ce n'était pas pour autant qu'ils ne continuaient pas de marcher. Ils merchèrent, et finalement arrivèrent dans le couloir des dortoires, que je reconnues, approuvant mon repère par un rire cruel et gras a la fois.

Ils me firent entrer dans une chambre, et m'y couchèrent dans un lit propre et frais. Ils resortirent tous dans le silence le plus complet, histoire de me laisser seule pour le passage de Sorcelier a Sangrave., moment assez perturbateur... Effectivement, je gesticula dans mon lit, en marmonant, puis criant des mots, des son, des chants, des cris, des grincements en tous genrs. Ca alla même a ce que je fasse la poule dans la chambre... ouha... esperont qu'il n'y ai pas de caméras dans cette chambre... je vous passe les détails les plus croustillants...


[ce message a été édité ]

Durant mes exubérances, le groupe de Sangrave c'était rassemblé dans la piece commune du réféctoire. Tous étaient exités comme des puces par ma venue, cette nouvelle recrue de Sangrave. Le plus puissant, celui qu'ils dénomént tous "Maître" était en faite simplement le plus experimenté et fort. Celui-ci donc s'avancait, en parlant lentement :

"- Je voudrais vous montrer le combat de notre nouvelle Sangrave de cette nuit, contre moi, que vous jugiez sa force. Je vous rappelle que personne ne m'a encore battus, si je regarde parmis vous. Celle-ci, m'a achevé entre guillemets bien sur, mais j'ai du déclarer match nul car sa résistance était trop forte. Ses boules de magies venaient epaissent et pleines de forces... voyez-ca"

Il amenant un espece de truc bizard qui resemblait a des scoops de l'Empire d'Omois, bien qu'il était plus grand et plus primitif que les petites caméras imperiales. Il passa donc le film du combats, montrant tous mes défauts, ainsi que mes qualités. Certes, comme disait-il, j'alais avoir besoin d'un entrenement intensif... mais, avec celui-ci :

"- J'ai pensé, que, vu sa capacité et son enorme potenciel, elle merite un entrainement des plus complexes, afin d'en faire une Sangrave parfaite, si je pui dire. Qu'en pensez vous ? "


Tous discutèrent. C'était mouvementé, mais, on arriva a un résultat au bout de la ligne : la majorité était plutôt en affirmation après cette question. Il fut donc décidé que j'alais avoir un entreinement intensif, dès le lendemain.

Malgrais ca... je n'avais même pas eu le choix d''être ou ne pas être Sangrave...

Pendant que les discutions occupées le groupe, je délirais toujours, bien qu'au bout d'un moment, je fatigua et m'endormie directement.

Quelques jours passaient, sans même que je ne m'en étais rendu compte. Ils m'entrainenèrent alors vivement, chacun essayant de m'en apprendre un peu plus au fur et a mesure.

Mais finalement reflechissons a cette drôle de situation :
* Bon. Je me suis aparament evanouie en pleine foret, après m'être echapée des prisons de l'Empire d'Omois. J'ai étais repêchée par un Sangrave, et ensuite nommée a ce nom. Bon. Bon. RAHHH !!! je comprend rien ! *
Exterieurement, je ne pougais plus, le regard fixe, concentrée, j'avais l'air d'une personne constipée.
*Pourquoi. Pourquoi tout ca ? Pourquoi suis-je maintenant une Sangrave. Et puis poruquoi j'ai des souvenir de ces masques et ses robes grisatres ? Pourquoi. Pourquoi et pourquoi, et pourquoi de putain de merde !!... *
cette fois, ce ne fut pas interieurement que je m'enervée et insultais le monde, mais a voix haute. Je commenca a peter un plonb ( un seul hein, pas tous.. =} ). Je me mis a crier et hurler des insanitées qui auraient fait fremire un nain. Et cela pendant bien 10 minues, où un bon nombres de Sangrave étant venue voir ce qui ce passait par là, me regardaient comme si j'étais un poussin qui était en train de détruire sa coquille d'oeuf, décrouvrant doucement la vie, voyant soudainement le bleu du ciel, aprcevant sa maman pour la première fois, et puis ses frères et soeurs déjà grands, plumés, et savant déja marcher et caqueter seuls. Je m'arreta au bout d'un moment, lorsque je remarqua que je n'avais plus de voie, ou presque. C'ets vrai, j'y avais été un peu fort. Mais bon, j'avais voulu leur faire savoir mon mécomtantement, ils l'avaient su, c'était sur et certain ca au moins.

Quelqu'un vint me recoucher dans mon lit, je ne protesta pas. Je me laissa faire, et me retrova couchée, seule dans ma chambre, dans un lit froid.

Je regardais la fenêtre, lorsque j'eu denouveau envie de fuger. J'eu envie de partir loin de la, arreter tout ca, arreter ce rêve, arreter ce delire, arreter ce cauchemard. Je me leva, et noua mes draps, en serant fort, très fort. Je le attacha a l'armoire non loin de la fenêtre, et descendit. La je me souvint alors que j'avais fait cet exercice de nombreuses fois avec l'Imperatrice : le monté a la corde. Soulever son propre poid, avec les mains simplement. Ou le descendre bien sur.
Je remarqua que je manquais d'entreinement, et mes bras au milieu de la descente commencaient a ne plus vouloir me porter, et tranblaient de desespoirs et de fatiguent. Je persista, me disant que si je lachais ici, je me casserais certainement les jambes sous le choc, ou bien je mourrais. J descendis encore un peu, bien decidée a m'échaper, et saine et sauve en plus de ca.
Une fois en bas, je ne pus m'enmepecher de lacher un soupir de soulagement... Je me baissa, ne voulant pas être remarquée... Une fois que je vis que la voie était libre, je me mis a courire le plus vite possible vers la foret juste la. Je couru vers la où me semblais bon.






Loin, très loin, au bout d'au moin une heure de chemin, j'entendit la cloche d'alerte, uissante et stridente, des Sangraves. Ils avaient alors remarqués mon absence, et partiraient a ma recherche... j'accelera le pas.