L'infirmerie

Quelqu'un d'autre entra dans la salle commune d'infirmerie, la porte s'ouvrit si violement qu'on aurait pu croir qu'elle allait se deboiter... Je ne pu bourger pour voir qui entrait, je ne pouvais même pas lever la tête pour voir où j'étais, bien que je m'apercus tout de même que c'était un piece aux mur extremement blancs. Le visage au dessus du mien regrda le nouveau venue, et se leva d'un bond. Ils echangèrent quelques paroles où je ne distingua que quelques mots : sortie, commat, 2 semaines, mauvais etat.
En effet on parlais de moi. En gros, cela signifiait que j'étais enfin sortis du commat qui avait duré 2 semaines ce qui m'avait enormement afaiblis.
Il sortirent tous les deux, et l'homme venue a l'instant claqua la porte, comme si celle-ci lui avait fait quelque chose de mal.
Entre temps, j'avais eu le courage de laisser les yeux ouverts, et de regarder autour de moi, histoire de me situer. Pleins de lits au draperies blanches, qu'un pacient, moi. Aucun tableau, rien que du blanc et des lumières aveuglantes.Tristounet comme endroit... même pour une infirmerie...
Je tenta de bouger un doigt, qui ne répondit qu'a ma deuxième demande. Ensuite un autre, puis les dix de mes deux mains. Au tour de mes orteils. Eux urent encore un peu plus de mal. le manque de nouriture m'avais totalement afaiblis jusqu'a ce que je ne puisse même plus bouger mes membres ! Bon... je percevera, une heure passa jusu'a ce que je puisse bouger : orteils, chevilles, genoux guauche, paupières, et doigts des deux mains. J'étais assez contente de moi en fin de compte... mais l'effore m'avais achevé... Il me falait absolument manger quelque chose... mon ventre cria famine, gargouillant suffisement fortement pour qu'on l'entende de loin...
Et c'est a ce bon moment qu'une personne habillée d'une robe longue, clanche, entrouverte au buste, ayant .. non pas un visage... mais... un masque : c'était un masque miroitant ! o quel etrange idée... je frissona, mais sourie en senant l'odeur de nouriture qu'il m'aportait. Il me regarda, et je suposa qu'il se questionnait au sujet que je puisse me nourire sans aide... mais finalement il préfera me poser la question:
"- Avez-vous besoin d'aide pour vous nourir ?"
Je pensa qu'il falait surtout qu'il se depeche de m'amenner la nouriture a la bouche avant que je ne cr*ve de faim... Il compris, je pense a mon regard, que non.
Il s'assis, relativement agacé, sur mon lit, et puis m'mena de la mouriture a la bouche... j'avala sans me poser de questions, et machais a une vitesse impressionante, si bien que l'homme au masque avait presque du mal a me suivre... Mais au bout d'un moment je m'apercus que cette nouriture était... dég**tante;;. j'eu envie de la recracher, mais n'en fis rien paraitre, je devais certainement etre contente d'avoir de la nouriture. Je termina mon plat avec grimaces bizards, et l'homme, partant me dit :
"- Reposez-vous maintenant."
Jolie voie... peu m'importais, il avait raison, en plus, j'avais envie de dormir... je le regarda sortir, etm'endormis peu après...

Je dormis encore profondément toute l'aprés-midi qui suivis, et lui nuit était sombre et avancée lorsque je me réveilla, ens sursaut, pour je ne savais quelle raison. Cette fois, mon corps suivis mon envie. Je me leva de mon lit, restant quelques secondes a reprendre mes esprits assise au bord de ma couchette, avant de me lever reelement. D'un pas incertain, je me dirigea vers la porte blanche, à la poignée en metal, froide. Je l'entre-ouvrie, et pointa mon bout du nez dehore, et ecouta : rien. Bon signe ! Je sortis donc, toutes les questions que je me posais, avaient envies de réponses, mais je n'en avais pas a leure donner... Je marcha, pieds nus, en chemise blanche, longeant le mur, les yeux dilatés par le noir, je ne voyais même pas réelement où je me dirigais. Mais soudainement, j'eu l'impression que cela m'était familier... Je soucoua la tête, comme pour efasser cette idée etrange... Je me posa alors une question cruciale : mais où alais-je comme cela, d'un pas telement décidé ? Je haussa les epaules... ne sachant vraiment que répondre...
J'entra descendis un escalier, et trouva un couloir de pieces toutes identiques. J'entra tout doucement dans une première, et distingua un lit, avec une personne dedant, dormant confortablement, une fenêtre, une armoire, un lavabeau, et un petite salle de bain. Bon, une chambre. Daccore... Je pris la suivante, et elle était presque pareil, sauf que là, ce trouvait un panier avec un animal etrange a l'interieure... J'en fis plusieur, chacune était a peu de chose près differente de la première et de la seconde et de la precedente. Je tomba finalement sur une qui me paraissait vide. Elle ne me semblait que paraitre vide, car se trouvait là une armoire aux portes entre-ouvertes, avec des especes de vêtements dedant, mal pliés, de ce que je pus apercevoir. Un lit aussi defet. Avais-je envie de dormir ? Pas vraiment non ...

Je m'avanca vers le lit, et puis m'y assis. Je caressa la couètte défaites par une personne qui s'était certainemant couchée dedant.
Je ne vit qu'une ombre passer par la fenêtre ouverte alors que je me disait qu'il faisait effectivement froid, je cligna des yeux, et je vis que quelqu'un se tenait devant moi. Je fis les yeux rond... la personne ne bougea pas, ni même un petit sourire, ni même un regard different que celui, glacial qu'il me lancais.
"-Qui êtes-vous ? me questionnat-il sèchement.
-Je ne suis pas sûre Monssieur, de savoir presisement.
-Dites toujours.
-Je supose que je me nomme Nessa. Mais, je n'en suis pas sûre, comme dit.
-Et que faites vous sur mon lit, Nessa ?
-Je...euh..je supose que je cherchez moi même où aller, et que faire en plein milieu de la nuit, après des jours , ou peu être des semaines de sommeil, et un reveil dans un infirmerie, vide, blanche et sans saveur.
J'eu envie d'ajouter :* a part le visage, le premier visage après mon reveil... ce sublime visage d'homme... il avait des yeux magnifiques... et une chevelure en batille * je souris, aparament pas seulement interieurement, car la personne se trouvant devant moi, me lanca un drole de regard.-C'est vous, qu'un de mes ami a donc pêché dans la foret, presque morte, seule, evanouie ?
Je n'eu pas le temps de répondre, qu'il me fit un geste de la main pour me faire taire. Il alla vers sa garde-robe, aux portes ouverts, et me sortis quelque chose. Il me le lanca, ce retourna, et me prévint :"- C'est une robe. Enfilez la, pendant que je suis tourné."
Je le regarda, enfin, je regarda son dos, il respirait fort, un peu sacadément, et je me deshabilla sans refelchire, sans questions. J'enfila la robe, en gardant mon pantalon en decou, que je retrouca, et un petit maillot de corps, vu que la robe avait l'air de gratter terriblement.
"-c'est bon. " souflais-je peniblement.
"- Bien maintenant, êtes vous en forme ?
Je me demandais ce qu'il avait derière la tête, et il s'approchait etrangement de moi. Il répéta alors :
"-¨Êtes vous en forme, damoiselle Nessa ?
- euh euh... ben euh... roooh... pourquoi voum'demandez ca encor' ?
- répondez a ma question, crachota-til, se souvenant qu'on était en pleine nuit, et que tout le monde était sencé dormir.
- Oui, enfin, euh, a peu près, j'ai a peu près retrouvé mes forces, enfin je pense pour marcher ca devré aller.
Je souris encore come un idiote, et il me prit le bras brutalement, et il m'enmena en dehor de sa chambre bordélique, et me traina comme un père traine son enfant par le bras lorsque ce dernier n'a plus du tout envie de marcher et veut une glace a la place. C'est a ce moment la que je m'apercus que la robe que j'avais sur moi, était trop grande... elle était blanche... enfin grise, mais presque blanc, telement clair, que l'on y voyait de blanc. oui, donc, je m'aprecus qu'elle était trop grande prceque je trainais mes pieds dessus, je pouvait les mettre et me lisser trainer par cette bizard personne, là où elle avait envie de m'enmenner. Au bout d'un moment je ne maitrisa plus la cituation avec la robe, et trébucha...
L'homme mogréa, rumina, fulmina, comme s'il ne comprenait rien a rien, et me releva d'un coup brusque. On tourna a droit, dans un couloir, et nous entrâmes dans une piece gigantesque, que je présuma être celle dédié a l'entrainemant, les duels, et tout ce qui touchait a la magie.


Sans me demander mon avis, il alla me placer sur le plateau des duels, et ses mains s'illuminèrent d'une lueure de magie verte...
?? Il voulait faire un duel la ? un duel en p;eine nuit ? alors que je venais de sortir d'un commat ? oula... je me frappa la tête histoire de me remetre les idées au clair, et je n'eu presque le temps de me jeter de coter, une boule de magie m'attaquant...